Salle d'oscultation des Hommes

Invité

Hihihihi, je suis sadique Wink

Tu savais pô? tongue

Invité

Attend, c'est quoi ce rire que tu vient de me faire ?
Pour paraitre encore plus sadique, pschopathe, diabolique et machiavelique tu doit avoir un rire spécial... se consentra un instant... et fit un rire comme sa...

MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAAAAAAAAA YAHAHAHAHAHAHAHAHA OHOHAHAHAHAHAHA HAHHAHAHAHAHAHAHAHA... ahhhhhhh...

Hares repartit s'assoir...

En entendant la voix de l'infirmière, Standro, jusque là très détendu, se crispa soudain. Il comprit en tendant l'oreille qu'elle ne faisait pas que passer, ce que le médecin chef confirma effectivement.
Une ombre s'installa dès lors au fond de ses yeux, ses traits se durcirent en même temps que son corps se raidit. Un frisson parcourut son échine à l'instant où il crut qu'elle entrait dans la salle.
Ne pas croiser son regard...
Standro craignait qu'elle ne reconnaisse la noirceur qui voilait désormais sa vision...

Pénétrant dans la pièce un sourire mutin sur les lèvres, elle commença par les formalités.

Alors…
Mon cher Standro, Nom, age, ville d’origine, caractéristiques, problèmes de santé et antécédent familiaux?

Elle espérait expédier ces formalités, ça ne faisait que commencer…

Mon cher Standro ! Qu'est-ce que c'était que cette entrée en matière ? Pour le coup, il ne put s'empêcher de commencer à répondre...
Pour le nom, vous venez de le dire !
Il se mordit la lèvre aussitôt et se reprit... ce n'était pas la peine d'envenimer la situation inutilement...
Standro, 20 ans, Argentan, (I : 9, F : 19, C : 28 ), ...

La suite était plus délicate. Pour les problèmes de santé, ça allait, il n'y en avait aucun. Mais les antécédents familiaux, il les ignorait lui-même pour une partie d'entre eux, et le simple fait de devoir penser à cela ne fit qu'assombrir un peu plus le voile...
Pas de problème de santé particulier...
Le reste bloquait. Elle le savait ! Et il savait qu'elle le savait... Et c'était pour cela que ça bloquait... Il prit une inspiration avant de poursuivre...
Voilà !
Il se doutait bien que ça ne passerait pas, qu'elle n'allait pas oublier qu'il évitait la dernière réponse, mais il lui fallait un peu de temps pour se préparer à mentir encore, une nouvelle fois, il avait toujours besoin d'un peu de temps pour cela. Un léger tremblement secouait son bras, presque imperceptible.

Elle notait soigneusement les réponses sur sa fiche, prenant l’air d’être absorbée dans ses papiers.

Alors Standro, 20 ans, Argentan, caractéristiques ok, pas de problèmes de santé particulier…

Toujours le regard perdu dans ses papiers, lui jetant juste un regard furtif mais soupçonneux avant de continuer.

On va noter les tremblements bizarres quand même hein…

Elle savait qu’en notant ce fait, elle risquait de ralentir ses chances d’évolution, bien qu’il n’ait apparemment pas d’ambition, cela ne manquerait pas de l’irriter.
Elle finit de noter sa remarque, puis posant son regard sur lui, elle lui dit d’un ton autoritaire.

Enlevez votre chemise !

Elle lui tourna le dos, faisant mine de le traiter aussi vulgairement qu’un autre, puis toujours de dos sachant très bien de quelle façon il allait réagir, elle continua sur le ton le plus neutre qu’elle put.

Nous en étions donc aux antécédents familiaux…
Vous me disiez ? J’ai peur de vous avoir coupé la parole…

Elle se retourna lentement sans le regarder dans les yeux.

Invité

Moussou qui assister la scène, regarda Standro en sueur et en larme...

REPOND à la dame !!!!! Ou sa va chauffer!!!!!! lol!

Il se marrer de plus belle dans la salle d'attente

Des tremblements bizarres ? Standro prit soudainement conscience de ces légers mouvements incontrôlés qui l'animaient par intermittence. Elle connaissait peut-être finalement son métier pour parvenir à noter cela... Même lui ne les avait pas remarqués... Quelle en était la raison ? Il ne se souvenait même pas d'une telle réaction lorsqu'Arfee lui avait infligé cette stupide épreuve de force quelques jours auparavant. Son regard se fit plus noir encore au souvenir de ce passage. Contrairement à elle, Standro n'avait pas le pardon facile.
Il ôtait sa chemise lorsque le chef hospitalier fit sa remarque. Bien sur qu'il allait répondre ! Il n'aurait même pas à mentir...
Pas d'antécédents connus.
Voilà, c'était dit ! Torse nu, il avait vraiment froid maintenant. Les travaux en salle d'attente lui avait donné chaud, et le changement de température serait finalement un bon prétexte pour justifier ses tremblements si elle s'avisait de lui en demander la cause.

Elle se pinça légèrement les lèvres, il avait esquivé…
Lorsque Moussou les apostropha, elle fut quelques instants déstabilisée, tournant la tête dans sa direction, elle alla fermer la porte.

Excuse moi Moussou, mais pour le confort de notre recru, je vais fermer la porte, timide comme je le pense, il ne voudra certainement pas se déshabiller aux yeux de tous.

Les vraies raisons n’étaient bien sûre pas celles là. Elle ne souhaitait pas qu’on puisse à nouveau lui laisser le loisir de se reprendre.
Leurs dernières confrontations, lui avaient laissé un goût amer, il était là à se dresser contre elle, bien qu’il obéissait, il remettait sans cesse tout en question, et son attitude devenait de plus en plus insolente.
Elle lui en avait passé des choses, sauts d’humeur, réflexions acerbes, l’avait supporté quand il rechignait aux ordres, et avait toujours essayé d’effacer de sa mémoire sa première « rébellion ».
Arfee attrapa le petit marteau servant à vérifier les réflexes, et se rapprocha de lui.

Croisez les jambes.

Elle évitait soigneusement son regard, mais elle savait que sa proximité, surtout alors qu’il était torse nu le mettrait mal à l’aise.
Feignant d’avoir précédemment oublié, elle continua sur un ton neutre.

J’avais oublié, il est vrai que vous avez quelques soucis à retracer votre généalogie.
Ça m’était sorti de la tête.

Voyant qu'il n'avait pas encore pris la position, elle l'obligea à croiser les jambes, et commença à lui donner un premier coup de marteau sur le tandon.
La jambe réagit correctement en un mouvement brusque.

Très bien, l'autre jambe à présent.

Standro s'exécutait, croisant les jambes dans un sens, puis les décroisant...
L'infirmière avait pris avec lui un ton lointain, faussement détaché. Ses ordres étaient brefs, clairs, et elle semblait avoir banni tout tutoiement lorsqu'elle s'adressait à lui désormais. Tant qu'elle restait ainsi dans le protocolaire, Standro garderait son calme, il lui en avait déjà donné la preuve et elle n'en ignorait rien.
Evidemment elle ne pouvait s'empêcher d'y aller de sa petite pique. Et quelle remarque ! quel aveu ! « Ca lui était sorti de la tête »... Probablement comme elle était aussi capable d'oublier, lorsque ça l'arrangeait, l'histoire qu'elle lui avait elle-même contée. Sur le coup, il avait compati. Il s'était même demandé si ce n'était pas elle finalement qui avaient des leçons à lui donner quant à la Colère et à la Tempérance ! Quelle erreur... Pour Standro, l'attitude récente d'Arfee prouvait tout le contraire, et il était persuadé que plutôt que de Tempérance, cet oubli était bien plus proche dans ses raisons de l'Acédie que du pardon... Si au moins il avait pu lui expliquer en ces termes, mais elle avançait si lentement dans sa lecture du livre des Vertus qu'il semblait impossible de lui en parler. L'acédie une fois encore, la déréliction, l'abandon de la foi... le péché à l'origine de tous les autres... Voilà le mal dont il pensait qu'elle souffrait, et dont il ignorait si l'on pouvait l'en détourner.
La pique n'eut donc comme effet que de le renforcer dans sa conviction. Et étant donné qu'elle ne lui posait en réalité aucune question, il ne vit pas l'intérêt de prononcer un seul mot et croisa ses jambes comme demandé, silencieusement, mécaniquement, obéissant à l'ordre.
En d'autres lieux, en d'autres circonstances, il eût prié pour résister à l'Orgueil et à la Colère, mais son jugement vis-à-vis d'Arfee était par trop aveuglé pour qu'il soit capable en cet instant d'un tel recul sur lui-même. Hic et nunc, tout aussi sujet à l'Acédie qu'il croyait qu'elle l'était.

Son stoïcisme, l’agaçait au plus haut point, il refusait de s’aventurer sur son terrain, et ses piques n’y faisaient rien, elle irait donc sur le sien.
Elle ne voulait pas pour autant qu’il ne lui arrive la même mésaventure que lors de son premier changement d’humeur, il lui faudrait donc tenir son rôle.
L’osculation était positive, elle aurait dors et déjà pu lui remettre sa feuille d’aptitude, il était grand et maigre, et bien que ses gestes soient parfois maladroits comme si son corps était trop grand pour lui, il était en bonne santé et apte à intégrer l’armée.
Pourtant il lui était difficile de le laisser s’en aller, sans que de cette silencieuse bataille elle n’en sorte victorieuse.
Elle s’installa donc au bureau, remplissant les papiers le plus soigneusement possible, il lui fallait un peu de temps, elle se creusait la tête à savoir comment aborder le sujet.
Elle le voyait bien s’impatienter, mais il obéirait, elle le savait, il tremblait, cela venait il du froid et est ce encore ces mystérieux tremblements… aucune importance, elle n’avait pas l’intention de lui accorder une quelconque distraction, et le connaissant il aurait pris tout son temps pour se rhabiller, du moins le même temps qu’elle aurait utilisé pour remplir ses papiers, ainsi elle laissa le silence s’immiscer dans la pièce, le moindre mouvement qu’il effectuait le rompait légèrement, augmentant le malaise dans la pièce.
Enfin, elle se leva, se rapprocha d’un petit panneau sur le mur et lui ordonna, car dans sa voix ne devait trahir ce qu’elle attendait de cet exercice.

Très bien !
A présent vous allez vous mettre debout, mettez votre main gauche sur votre œil gauche et lisez moi la première ligne.
Puis main droite, œil droit, lisez la deuxième ligne.
Enfin, regardez de face et lisez la troisième ligne.
Je vous écoute.

Citation :: AEYZT
MPGTE
IOPNQ

Standro fut surpris par ce nouvel ordre. Hares avait passé la visite peu de temps auparavant mais il ne lui avait pas raconté cet épisode... Le père Igor, qui s'était chargé de la majeure partie de son éducation, avait certes essayé de lui enseigner la lecture, mais Standro avait toujours préféré les histoires qu'il racontait à ces petites lignes pleines de courbes et de traits auxquelles il n'entendait rien. Avec de grands efforts, il était parvenu à déchiffrer les lettres, mais il n'avait jamais su maîtriser cette science étrange qui permettait, en les combinant, d'en faire des mots et des phrases...
Arfee savait cela aussi. Elle avait visiblement l'intention de le recaler, il n'en doutait plus. Tout à sa réflexion, il ne savait plus quel oeil il devait cacher en premier puis lequel ensuite. Il se lança donc au hasard, en essayant de trouver un mot sur chaque ligne, il ne semblait pas y en avoir beaucoup plus. Il avait peu d'espoir :

A... AE... Aéré ?, changeant de main et se cachant l'autre oeil,M... MP...ce mot-là était particulirement coriace ^^Mépris ?Enfin, avec les deux yeuxIO... IO... I... O...pfff
Il soupira. C'était inutile, il n'y arriverait pas. Elle savait bien qu'il n'avait pas appris à lire depuis la dernière fois qu'ils en avaient parlé, ce n'était pas la peine de faire semblant.
Je sais pas.
Intérieurement, un désir de revanche commençait déjà à prendre forme. Il voulait simplement apprendre à lire, et lui prouver qu'il en était capable. La surprise face à cet exercice canalisait sa colère de manière inattendue. Il continuait de regarder ces mots qu'ils ne comprenait pas afin de les graver dans sa mémoire, bien décidé à en faire les premiers qu'il apprendrait.
Ses mèches étaient collées sur ses épaules et sur son dos en sueur, des frissons le parcouraient. L'ombre dans son regard s'atténuait peu à peu tandis qu'il commençait à ressentir de plus en plus le froid ambiant.

Invité

Hares avait observé la scene par la fenêtre de l'infirmerie, il voyait que Standro avait du mal a lire les lettres, alors il décida de lui souflé les réponses...

hééé! psssssst! Standro! la premiere ligne c'est: AEYZT.
La deuxieme c'est MPGTE
la troisieme IOPQN

Hares repartit en courant avant qu'arfee ne le voiye ou ne l'entende...

Elle le regarda se débattre avec sa « lecture », bien que cela relevait plus du déchiffrage qu’autre chose.
Entendant un chuchotement dans son dos, elle se retourna pour ne voir qu’une ombre prenant la fuite. Elle retourna au bureau, et termina de remplir sa fiche.

Je ne noterai pas cet « incident » dans le rapport, après tout il s’agissait ici de vérifier votre vue et non de démontrer votre dextérité à la lecture.
J’avais oublié que vous ne saviez pas lire, il faut dire qu’avec le temps que vous passez à citer les saintes écritures, j’avais pensé qu’elle n’avait plus de secrets pour vous et que vos paroles provenaient de vos lectures…

Toujours feignant d’être absorbée par ses papiers et sans relever la tête, elle continua.

Et non de ce que vous avez pu glaner ici et là, sans jamais pouvoir le vérifier de vos propres yeux...
Je me demande en qui vous pouvez avoir une confiance aussi aveugle...
Puisque votre foi est basée sur des ouie dire...

Standro ne comprenait plus le comportement d'Arfee. Elle le forçait à montrer qu'il ne savait pas lire mais n'en tenait pas compte dans son rapport... et elle lui posait maintenant des questions relatives à sa foi ! Simple en esprit, il ne s'était jamais interrogé sur les fondements de sa foi, cela était naturel, et il ne le questionnait pas.
La série de remarques que lui faisait Arfee ne lui paraissait plus relever du cadre de la visite. Il commença à douter des intentions de l'infirmière. Que voulait-elle savoir au juste ? Si elle pouvait trouver un moyen de faire son catéchisme sans lecture ? Elle n'avait visiblement pas eu la chance de côtoyer un aumônier dans sa jeunesse et semblait devoir apprendre seule à l'aide des livres. En d'autres circonstances, il l'aurait presque prise en pitié, il l'aurait peut-être même aidée, mais la visite commençait à lui sembler longue et il se contenta d'une réponse sybilline aux questionnements qu'elle avait après tout adressés à elle-même.
Je ne pense pas qu'il faille questionner la foi de cette manière.
Il se demanda un instant s'il avait jamais eu une confiance aveugle en qui que ce soit, mais il n'en avait pas l'impression.

Rien ne marchait, décidément le Standro la contrarierait toujours autant…
Pour une fois qu’elle désirait provoquer son courroux, ce dernier restait d’un calme olympien, elle enrageait et ne pouvait s’empêcher de jeter des regards noirs à Standro.
Elle n’espérait plus qu’une chose, son départ, qu’il s’en aille avant que ce ne soit elle qui ne déverse sa colère.
Sur un ton sec, elle reprit la parole.

T’es apte.
Habilles toi et tu peux t’en aller.

De plus en plus surpris par la tournure des évènements, heureux d'être apte, Standro commença à se rhabiller. Une fois sa chemise passée, il commença à réaliser... qu'elle l'avait tutoyé, sur un ton sec de surcroit ! Ce n'était pas du tout le ton qu'elle avait utilisé jusqu'alors, quelque chose semblait avoir changé en elle vers la fin de la visite, quelque chose qu'il ne parvenait pas à cerner. Une lueur d'espoir commençait à remplacer désormais l'ombre qui avait voilé son regard au début de la visite...
Vous vouliez savoir quelque chose en particulier ? Concernant la foi ?
Standro interprétait ce changement soudain dans la façon de s'exprimer d'Arfee comme une sorte de gêne, une incapacité à exprimer ce qu'elle voulait vraiment dire, et l'abandon, la décision prise à contre-coeur de ne rien dire au final... Sa propre colère étant définitivement passée avec l'annonce qu'il était apte, il avait retrouvé son état d'esprit habituel, incapable de ne pas apporter son aide à qui lui semble en avoir besoin.
Son regard se planta dans celui de l'infirmière, un regard où un masque de bonté avait déjà remplacé celui de Léviathan.

Il était encore là… Il avait donné l’air pendant toute l’auscultation de vouloir être ailleurs, elle avait plutôt imaginé qu’il aurait pris ses jambes à son coup et serait parti rapidement…
Voilà qu’il la regardait avec un air ingénu, les traits emprunts d’une bonté qui semblait dégouliner.
Elle ne supportait plus cet air ingénu sachant ce que pouvait cacher le masque qu’il lui présentait.
Elle supporta ce regard planté dans le sien, la colère naissant dans ses entrailles.

De vous, je ne veux rien apprendre !
Vous êtes comme un perroquet recrachant les paroles que d’autres vous ont rabâchées.
Aucun intérêt !

Elle lui tourna le dos et s’installa à son bureau.

Elle avait repris le même ton qu'auparavant, Standro leva les yeux au ciel. Il préférait ne pas insister. Avec elle, on n'était jamais à l'abri d'un tir de sandale... Il quitta donc la pièce, en haussant les épaules, ignorant toujours la raison de l'inimitié grandissante et selon lui injustifiée que l'infirmière vouait à son égard.

athos nouvellement nommé sergent recruteur d argentan se devais de montrer l exemple et se rendis a la visite medicale de controle

il s installa dans la salle d attente et attendi son tour

Invité

Moussou voyant un nouvel arrivant alla dans la salle d'attente le chercher....

(ps : la salle d'attente c'est à coter lol!

)

oups desolé j avais la tete ailleurs

ai dus trop arrosé les promotions respectives de mes amis et de moi meme lol!

athos suivi moussou jusqu a la salle de consultation

Invité

Il l'installa et s'installa aussi^^ (pourquoi pas...)

Alors, il me faut : ton nom, ton age, le nom de la ville où tu résides, un rapport d etes caractéristiques...

Ensuite d'autres questions Wink

Rapporte moi déjà tout sa après on verra Twisted Evil

je me nomme donc : athos ou athos61 tout depend de l endroit

age : hrp (33 ans) rp ( aucune idée disons pareil )

j habite argentan depuis le debut de sa creation arrivé en peuplement

Intelligence : 36
Force : 71
Charisme : 135

Points de réputation : 111
(dont points de confiance : 30)

Vous êtes plutôt content.

» Salle d'Attente
» Salle des Urgences
» Salle d'oscultation des Femmes